Coréopsis ‘Route 66’, fleur d’été et d’automne
Ce coréopsis au feuillage si délicatement découpé se met à fleurir dès le mois de juillet et ne cesse plus ensuite jusqu'en automne, seules les gelées mettant un terme à sa généreuse floraison.
Ce coréopsis au feuillage si délicatement découpé se met à fleurir dès le mois de juillet et ne cesse plus ensuite jusqu'en automne, seules les gelées mettant un terme à sa généreuse floraison.
Trop peu souvent utilisés, les asters nains forment pourtant des petites bordures bien nettes et généreusement fleuries. Vous pouvez en découvrir un bel exemple dans le Potager du Roi à Versailles (Yvelines). Un superbe ourlet coloré le long des arbres fruitiers palissés dépourvus de leurs fruits et bientôt de leurs feuilles.
Aux pluies répétées, au vent, à la grisaille de l'automne, aux températures plus fraiches... Robuste en diable, le bon vieux géranium zonale reste fidèle à sa réputation et continue à fleurir, encore et toujours. D'où son succès largement mérité.
Tant que les températures restent suffisamment douces, le dahlia bambou (Dahlia imperialis) continue sa croissance démesurée et se hisse toujours plus haut. Cette espèce exotique ne fleurit qu'en plein hiver dans les régions où il ne gèle pas. Ailleurs, comme ici au Jardin des Plantes de Paris (Paris 5e), cette espèce est cultivée pour son feuillage imposant et son gigantisme qui donne un caractère exotique aux massifs et aux plates-bandes estivales.
Encore une autre variété surprenante d'échinacée, avec cette fois-ci des fleurs très doubles qui mêlent le jaune crème, le jaune d'or et le vert. Des gros pompons surmontés d'étoiles !
Joli bouquet d'étoiles bleues, ultime floraison de mon pied de clématite Blue River qui, malgré une année de culture difficile en raison des travaux effectués sur mon balcon, s'est vite rattrapé en cours d'été et s'est mis à fleurir généreusement.