Quand un arbre raconte le monde
Franck Lirzin, L’Aube, novembre 2024
Le nouveau livre de Franck Lirzin, Quand un arbre raconte le monde, une œuvre inédite qui donne la parole à un témoin immobile et millénaire : un robinier faux-acacia. Cet ouvrage fascinant, à mi-chemin entre le conte philosophique et l’épopée historique, nous offre un regard inédit sur l’histoire humaine à travers les yeux d’un arbre, le plus vieux de Paris.
Un récit unique à travers les âges et les racines de l’humanité
Robinier 1er, un arbre venu d’Amérique au XVIe siècle, a tout vu et tout vécu : l’acclimatation risquée dans un nouveau monde, la rencontre avec des rois et savants, et les bouleversements climatiques et urbains. À travers son regard, nous revisitons quatre siècles d’histoire tumultueuse entre les hommes et les arbres, de la vénération des cèdres par les tribus indiennes à l’exploitation aveugle des ressources naturelles par les Européens. L’arbre se confie à Sixtine, une jeune fille qui, contrairement à tous les autres passants, le voit et l’écoute. Au fil des saisons, il lui raconte ses origines, ses voyages, et les rencontres qui ont jalonné sa vie.
Un plaidoyer poétique pour repenser notre relation avec la nature
Quand un arbre raconte le monde est plus qu’un simple roman ; c’est une invitation à redécouvrir les arbres comme des partenaires essentiels de notre vie quotidienne. En mêlant réalité historique et fiction, Franck Lirzin plaide pour un changement radical de notre rapport à la nature, appelant à replacer les arbres au centre de nos vies urbaines. Avec ce récit accessible à tous, il souhaite toucher un large public et rendre hommage à ces géants verts que nous ne savons plus écouter.
ISBN : 978-2-8159-6366-4
EAN : 9782815963664
Format : 140 x 220 mm
296 pages
23 euros
Le commentaire de pariscotejardin est parfait.
J’ai aimé ce livre.
Ce robinier robuste, malin, plein d’humour, sensible, même sentimental, raconte sa vie tumultueuse.
J’ai appris beaucoup et je regarderai maintenant les arbres différemment.
Je n’arracherai plus les pousses ou drageons de robinier comme je l’ai fait dans mon jardin.
Ça me fait penser au livre : “Le Journal intime d’un arbre” de Didier van Cauwelaert…