Cette année assez tardivement au printemps, j’ai ressemé des belles-de-nuit (Mirabilis jalapa), directement en place dans les jardinières. La levée a été rapide et j’ai maintenant des beaux plants qui, pour certains, commencent à former leurs boutons floraux. La chaleur ? Même pas peur !
Je les arrose régulièrement, surtout parce que les autres plantes installées dans les mêmes jardinières montrent des signes de soif, car les belles-de-nuit sont vraiment plus résistantes à un manque d’eau. Et les fortes chaleurs n’altèrent pas leur vigueur et leur croissance. Des bonnes plantes pour les jardins parisiens de demain… Et pour la plupart des travailleurs “de jour”, car la floraison ne s’épanouit qu’en soirée et toute la nuit jusqu’au petit matin. L’inverse du pourpier…
il faut ds un jardin les semer en automne et signaler leur emplacement car elles émergent tard en juin
Il y en a de très belles potées cette année dans la rue de Buzenval (20ème).
Souvenir aussi qu’elles s’épanouissaient très bien dans le jardin de mon père, à Toulouse.
Une fleur d’avenir assurément.
Même constatation à Saint Serge