Beaucoup trop de chaleur pour mes impatiences

Impatience d'intérieur souffrant de la chaleur estivale, plante d'intérieur, Paris 19e (75)

Beaucoup trop de chaleur pour mes impatiences

Impatience d'intérieur souffrant de la chaleur estivale, plante d'intérieur, Paris 19e (75)

J’ai beau aérer toute la nuit, essayer de faire courant d’air, fermer les volets avant le lever du soleil, installer des grandes soucoupes remplies d’eau sous les cache-pot de mes plantes d’intérieur, la température ne baisse plus en dessous de 28°C depuis quelques jours. Et cela ne convient pas du tout à mes pauvres impatiences qui ont triste mine.

Impatience d'intérieur souffrant de la chaleur estivale, plante d'intérieur, Paris 19e (75)

Je n’ai pourtant pas oublié de les arroser, sans pour autant les noyer, ce qui est souvent le risque en plein été. Mais dès que les fortes chaleurs se sont installées dans la capitale, les feuilles de mes impatiences ont commencé à se flétrir, tombant rapidement. Il y a toujours des jeunes pousses qui se forment, mais la canicule n’est pas encore terminée…

Chaque potée est placée dans un cache-pot, lui même installé au centre d’une grande soucoupe que je remplis en permanence avec de l’eau pour augmenter l’hygrométrie autour des plantes. J’ai fait la même chose avec quelques autres de mes plantes d’intérieur. Et je vaporise de l’eau douce sans calcaire à la tombée de la nuit sur toutes mes plantes d’intérieur. Ça rafraîchit l’atmosphère un court instant, tant que toute l’eau ne s’est pas évaporée.

J’ai de la chance, je n’ai pas vu d’araignées rouges pour le moment, car ces sales bestioles raffolent d’un temps chaud et sec. Mes brumisations font peut-être plus d’effet que je ne le pense.

Alain Delavie

Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).

Cet article a 2 commentaires

  1. jpp

    Même constatation pour les impatiens de pleine terre de Saint Serge.

  2. melilot

    Je ne sais pas si les plantes raffolent des courants d’air.
    Ici (Paris aussi) elles crèveront plutôt de l’absence de lumière, car je n’ouvre plus du tout (sauf la nuit, mais ça ne change guère), c’est encore le mieux pour empêcher la chaleur d’entrer.
    De gros travaux sont en cours pour améliorer l’isolation, ceux qui en ont déjà profité disent que ça va beaucoup mieux, mais nous sommes plusieurs bâtiments et notre tour viendra en automne seulement. La situation est telle que sans une mise aux normes du bâti, ça deviendra de plus en plus invivable.J’ai le souvenir de la rue intérieure de la résidence brûlante et réverbérant une énergie folle à encore 3 heures du matin l’an dernier. Y aurait on jeté de l’eau qu’elle y aurait presque bouilli. Je n,’avais jamais vu cela à Paris.

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