Coleus (Solenostemon) en été sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Coleus chocolat et mandarine

Coleus (Solenostemon) en été sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Mon beau coléus (Solenostemon) au feuillage chocolat, rouille et orange a pris une belle ampleur, déployant ses larges feuilles aux couleurs si originales.

Coleus (Solenostemon) en été sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Les feuilles naissantes sont teintées de violet. En se développant, elles prennent d’abord une couleur rouille très éclatante, avec des nervures pourpres. Puis la teinte orangée devient de plus en plus marron chocolat et des marques orange se forment le long de certaines nervures. Un liseré jaune vert fluo très fin se forme sur certaines feuilles, mais il reste très discret et irrégulier, contrairement à d’autres variétés aux feuilles nettement ourlées.

Alain Delavie

Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).

Cette publication a un commentaire

  1. Josette

    Joli.

    A propos de coleus j’en ai sauvés 2 en les achetant sinon ils auraient finis grillés comme tous les autres végétaux proposés à la vente
    dans le sas de la moyenne surface où je fais mes courses. J’ai acheté aussi une bouteille d’eau et j’ai arrosé ceux qui pouvaient être
    encore sauvés, potables pour la vente. Ces coleus ne sont pas aussi originaux que celui en photo mais tout de même plaisants.

    Je peste, je rage, sur cette façon de vendre sans soigner les plantes. L’été le sas avec 3 parois vitrées est une fournaise aussi les plantes
    non vendues ont vite fait de se dessécher ; le gérant refuse catégoriquement de dépenser un centime pour l’arrosage puisque ce ne
    ne sont pas ses plantes mais un dépôt d’un horticulteur du coin. Quel gâchis !

    Mais quand donc cette façon de procéder va cesser ?

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