Salon International de l’Agriculture 2018 : L’agriculture, une aventure collective !

Salon International de l’Agriculture 2018 : L’agriculture, une aventure collective !

Affiche du SIA 2018, Paris 15e (75)
La 55ème édition du Salon International de l’Agriculture ouvre ses portes à Paris du 24 février au 4 mars 2018. Une nouvelle fois, cette manifestation va faire rayonner le monde agricole à travers le thème : “L’agriculture, une aventure collective !”.

“La notion de collectif se décline à tous les niveaux de l’agriculture. Que ce soit entre agriculteurs, avec les décideurs politiques et les institutionnels ou avec les consommateurs, l’agriculture s’est toujours développée en équipe”, déclare Jean-Luc Poulain, agriculteur et président du Salon International de l’Agriculture.

Entre 630 000 et 650 000 visiteurs, dont 32 000 professionnels, sont attendus au Parc des Expositions, Porte de Versailles à Paris pour l’édition 2018. La plus grande manifestation agricole européenne est organisée autour de 4 univers fondamentaux :

  • les filières de l’élevage,
  • les cultures et filières végétales,
  • les produits de nos régions françaises et du monde
  • ainsi que les services et métiers de l’agriculture.

Plus de 1 000 exposants représentent ces univers lors de cette manifestation à destination des professionnels, des institutionnels et du grand public.

Le Salon International de l’Agriculture est une interface indiscutable entre le consommateur, le politique, les médias et l’agriculteur. “C’est un rendez-vous annuel fondamentalement pédagogique, un lieu idéal pour que tous les publics concernés par l’agriculture échangent sur leurs métiers et leurs savoir-faire, et aussi sur les questions d’actualités du secteur”, explique Valérie Le Roy, directrice du Salon International de l’Agriculture.

Pour l’édition 2018, le vrai bon plan est de venir au Salon en utilisant les transports en commun
Pourquoi ? Parce que le Parc des Expositions de Paris Porte de Versailles est en rénovation. Durant cette période, le nombre de places de parking est limité ! La bonne solution est donc d’utiliser les transports en commun.

Autobus, métro, tramway… tous mènent au Salon International de l’Agriculture pour une visite en toute sérénité. Et si le seul moyen de transport à disposition reste la voiture, alors le plus judicieux, pour stationner en toute tranquillité, c’est de laisser son véhicule dans un parking situé dans un périmètre élargi. Le Salon International de l’Agriculture propose, sur son site, une carte interactive qui recense les nombreux parkings, publics et privés situés à proximité des lignes de métro, tramway ou autobus, mais aussi les applications qui facilitent la vie. L’accès au Salon devient ensuite tellement simple.

Quel que soit le transport en commun choisi, il vous dépose devant l’entrée du Parc, à l’instar d’un chauffeur de taxi !

Salon International de l’Agriculture
Paris Parc des Expositions – Porte de Versailles, 1, place de la Porte de Versailles, 75015 Paris.
De 9 heures à 19 heures tous les jours (il n’y a plus de nocturne).
Hotline : 01 86 76 68 68.
Plein tarif : 14€.
Tarif enfant (de 6 à 12 ans)  : 7€.
Enfant de moins de 6 ans : gratuit.

Retrouvez toute l’actualité du Salon International de l’Agriculture :
Sur le site internet www.salon-agriculture.com
Sur les réseaux sociaux ( avec les hashtags #SIA2018 ou #SIAPRO2018)
Twitter : @Salondelagri et @Haute_SIA2018
Facebook :  Salon International de l’Agriculture
Instagram : Salondelagriculture

Alain Delavie

Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).

Cette publication a un commentaire

  1. jpp

    C’est justement ce qui se perd en ce moment : le village traditionnel est un collectif forcé, les liens forts et contraignants,la solidarité-quand elle est nécessaire, très forte. Les années 50 ont apporté le syndicalisme paysan. Mais j’ai vu un des acteurs de ce syndicalisme les larmes quasiment aux yeux : l’agriculture actuelle, industrielle et capitalistique, c’est du “chacun pour soi”:la solidarité se résume à un lobbying au profit des “gros”.
    Le seul secteur où il reste du collectif, c’est bien sûr le bio. Qui se développe bien trop lentement : les signaux envoyés par le monde politique sont trop ambigus pour qu’il en soit autrement.

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