Suspension Samba de Deroma

Pot Samba à réserve d'eau, Deroma, sur mon balcon parisien au printemps, Paris 19e (75)
Chaque année au printemps, c’est la crise du logement sur mon balcon parisien. Cette année encore, malgré mes bonnes résolutions pour ne pas glisser des petits pots partout, j’ai du trouver des solutions radicales pour installer mes nombreux achats. Et je tente ce nouveau pot Samba avec réserve d’eau de Deroma.

Pot Samba à réserve d'eau, Deroma, sur mon balcon parisien au printemps, Paris 19e (75)La forme du pot est plutôt design et les proportions sont suffisamment grandes pour permettre aux végétaux de passer la belle saison dans les meilleures conditions : Hauteur 22,20 cm, diamètre 22 cm. Un bon volume pour un pot en plastique très léger.

J’ai choisi la couleur anthracite qui s’accorde bien avec mes autres plus grosses potées et avec la couleur des toits parisiens aux alentours. Le bac a une réserve d’eau, mais elle dispose d’un système de trop plein, donc les eaux d’arrosage risquent de déborder sur les plantes en dessous. Ce n’est pas top, je vais certainement acheter d’autres pots en plastiques sans trou et de la même couleur pour servir de cache-pot.

Pot Samba à réserve d'eau, Deroma, sur mon balcon parisien au printemps, Paris 19e (75)
Mention très bien pour le système d’accrochage qui tient bien le pot droit, alors que les modèles plus classiques avec un fond penchent trop, rendant difficile la séance d’arrosage.

J’ai installé deux de ces pots à réserve d’eau. L’un pour le bidens en compagnie de son bégonia, l’autre pour un fraisier qui a le bégonia Bonaparte comme compagnon. J’ai occupé des parties vides de la rambarde du balcon, à exposition bien ensoleillée toute la matinée. Toutes mes plantes sont plantées, n’est-ce pas merveilleux ?

Alain Delavie

Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).

Cet article a 3 commentaires

  1. Alain Delavie

    De bien belles acquisitions en effet, il fallait craquer !!! Et puis en fait, on arrive toujours à tout installer…

  2. mamiefanfan

    On résiste mal aux coups de coeur ! ayant un petit jardin (110m2), parfois je me demande si je ne vais pas pousser les clôtures !! (MDR). mes dernières plantations sont 9 pieds de tomates. j’ai aussi dans une grande coupe, un laurier rose, un aucuba, un dahlia, un petit lierre panaché. mais où vais-je les mettre ??? alors je comprends parfaitement Alain qui craque au cours de ces promenades !!!

  3. Josette

    Merveilleux en effet mais est-ce bien la fin des achats coup de coeur ? !!!

    J’étais sur le point d’avoir fini mes transplantations quand… patatras … un nouvel arrivage !
    Nouveaux tracas mais nouveaux bonheurs ! Difficile de se raisonner.devant tant de beautés surtout que la place ne me manque pas.

    Les nouveaux venus : 2 petits coeurs de Marie blancs, 2 rosiers Aline Mayrisch, rosier à fleurs groupées, fleurs rouge fuschia avec coeur crème/jaune, 1 rosier Anahé, rosier à grandes fleurs, couleur pêche avec reflets saumonés. Parfum léger pour les deux mais ils ont l’air costauds. Prix avantageux sans doute pour la fête des Mères, chez Botanic.

    Cet automne je prévois d’acheter un rosier grimpant Yves Piaget.

    Pour les papilles : 2 pieds de tomates cerises.

Les commentaires sont fermés.