Soucis de janvier

Soucis de janvier

Souci fleurir en plein hiver dans la rue d'Aubervilliers, Paris 18e (75)
Au gré de mes balades parisiennes, je continue à photographier les quelques fleurs d’été qui jouent les prolongations et apportent de la couleur dans notre quotidien souvent gris et brumeux, ou plus encore pluvieux. Cette fois-ci j’ai rencontré quelques beaux soucis.

Souci fleurir en plein hiver dans la rue d'Aubervilliers, Paris 18e (75)Photographiés le 16 janvier dans le nord-est parisien… Superbes, non ?

Souci fleurir en plein hiver dans la rue d'Aubervilliers, Paris 18e (75)
Des belles fleurs aux teintes guillerettes, lumineuses à souhait (je n’en dirai pas autant de la météo).

Souci fleurir en plein hiver dans la rue d'Aubervilliers, Paris 18e (75)

Alain Delavie

Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).

Cet article a 3 commentaires

  1. Parfum de fleurs

    Bien qu’en début d’année, sur la côte Ouest de la France, nous avons essuyé quelques tempêtes, ce matin dans un parterre municipale j’ai observé de magnifiques narcisses en fleurs.

  2. jpp

    Moi j’ai des oeillets d’Inde et de la monnaie du pape. La première narcisse est en bouton.
    C’est la même chose en Russie (par exemple au jardin botanique de Tver) , avec des conséquences qui risquent d’être dramatiques pour la végétation car des gelées sont probables : “C’est la première fois en 25 ans que nous constatons un tel phénomène, déclare Yuri Naumtsev, le directeur du jardin botanique. Une grande diversité de plantes fleurissent au jardin : les héllébores, les perce-neige, les crocus, les daphnés, ainsi que les bruyères de printemps. Bien entendu, ce phénomène est aberrant, car les stades phénologiques actuels correspondent à ceux de fin mars-début avril, et en aucun cas à ceux de janvier.” (Tela botanica).
    Tela Botanica nous apprend aussi qu’on a piqué un nénuphar rarissime à Kew Garden.

  3. nicole

    superbes …. et incroyables ! leur couleur pétaradante nous fait patienter jusqu’aux jonquilles !!!

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