Est-ce une pure coïncidence ou le fait d’un artiste jardinier, mais les fleurs sauvages qui poussent dans cette friche urbaine de la rue Piat dans le 20ème arrondissement de Paris ont des teintes coordonnées avec les graffitis qui couvrent le mur à l’arrière.
Les delphiniums annuels ne sont pas si fréquents que cela dans les friches, une main bienveillante a du en semer quelques graines. Le tagueur s’en est-il inspiré pour donner des couleurs à ces peintures ? Toutes les histoires sont possibles…
Il y a, à ma connaissance, des jardiniers rue Piat (qu’on retrouve au jardin Leroy-Sème). Ils sont peut-être dans le coup !
j’ai horreur des tags et autres graffitis qui font vraiment sale. Ce n’est pas de l’art mais du vandalisme !!!
je préfère les fleurs sauvages malgré la décoration inattendue des canettes au pied.
le tag lui même fait déjà preuv d’une recherche de coloris, non ? et avec les delphiniums, ça fait “classe” !!! d’autant que la petite touche de jaune se retrouve aussi dans le tag ……