Les orages et les pluies qui sont passés sur Paris depuis le week-end dernier ont fait le plus grand bien aux plantes et aux jardins de la capitale, parfois très assoiffés pour ne pas dire en péril.
Avant les pluies, ce pauvre hydrangéa montrait des signes évidents de manque d’eau et si la sécheresse avait encore duré sans aucune pluie, il n’aurait pas fait encore long feu…
Les pluies qui sont tombées sur Paris et la région parisienne n’ont pas rempli les nappes phréatiques, mais elles ont permis de réhydrater temporairement une végétation qui souffrait beaucoup du manque d’eau.
La Chaine Météo parle “d’un apport en eau significatif, notamment pour le Bassin parisien… D’une manière générale, le déficit pluviométrique observé depuis le début du printemps est en léger repli. À Paris, par exemple, suite aux précipitations orageuses de ce début juin, le déficit pluviométrique depuis le 1er mars est passé de 84% au 30 mai à 66% au 6 juin.”
Eh oui. Ici aussi: j’ai même vu des rosiers dans un parterre public, pourtant plus résistants à la soif qu’un hydrangea et par ailleurs plantés depuis des années, devenir quasi totalement brun. Heureusement, depuis une semaine, il pleut presque tous les jours, la terre est bien réhumidifiée, sur une belle profondeur.
Les récentes pluies étaient les bienvenues, mais cette année est vraiment trop sèche.
Pauvre Hydrangea, il à eu chaud (c’est le cas de le dire) et surtout soif.
Ces pluies ont eu l’avantage supplémentaire de laver la pollution et après, le ciel était tout bleu à l’horizon … ce qui n’est pas si courant ! ☺
Bon week-end Alain.